Des études antérieures ont montré que les Autochtones ont une espérance de vie plus courte et sont plus susceptibles de mourir prématurément de causes évitables que les non-Autochtones. L'article « La mortalité chez les Premières Nations, 2006 à 2016 » est le premier à coupler des données du recensement et des données administratives pour examiner les causes de surmortalité des Premières Nations à l'échelle nationale. Il compare également la mortalité entre les Autochtones et les non-Autochtones ainsi qu'entre les Premières Nations vivant dans les réserves et les Premières Nations vivant hors réserve pour des groupes d'âge précis et des régions géographiques précises.